Ecologie & Environnement : L’affaire de tous
Lillers est entrée dans l’ère du développement durable et de la protection de l’environnement en s’attachant à replanter des essences locales.
Des arbres et arbustes plantés partout
Deux arbres replantés pour un arbre abattu : c’est la règle qui s’applique partout en ville et dans les hameaux. Elle contribue à réduire l’impact carbone.
Plus une quantité impressionnante d’arbustes pour reconstituer des haies : soit pour une barrière naturelle de protection contre l’épandage des pesticides, soit pour un mur végétal ou encore après résorption d’un dépôt d’ordures sauvage ; des haies vives, économes en eau et qui demandent peu d’entretien.
Les cimetières et ronds-points concernés
Prendre le temps pour permettre aux gens de s’habituer aux nouvelles pratiques autrement qu’avec des herbicides, proscrire l’usage de l’eau de javel, fleurir les entre-tombes, etc.
L’installation progressive d’hôtels à insectes et de nichoirs sur des lieux de passage importants, utiles à la sensibilisation à la protection de l’environnement.
La place de la voiture
Preuve de ce dynamisme que personne ne peut contester : le nombre de voitures qui circulent et stationnent en ville. L’existence et la création de parkings dont le stationnement est d’ailleurs gratuit, font que la ville n’est pas « asphyxiée ».
L’ouverture d’un passage entre la gare et le centre-ville permet aux piétons de passer d’un lieu à l’autre, en 2 minutes.
Le fleurissement et la propreté : un premier « Bouquet fleuri avec les encouragements » décerné à la ville
La majeure partie de la population s’en montre particulièrement attachée : les jardinières du centre-ville repensées et repositionnées, des essences plus économes en eau. La beauté et la propreté de la ville ne sont pas que l’affaire de la mairie (concours des maisons fleuries). La propreté c’est aussi celle de la population appelée à faire preuve de civisme.
L’arboretum
Les arbres (patrimoine naturel) « remarquables » ou Figures de symboles, dans le parc Trystram : l’arboretum a été remis au goût du jour avec son cheminement et ses plaques explicatives.
Le principe de la gestion différenciée
Le Conservatoire des espaces naturels est un partenaire incontournable peur a ville qui s’appuie sur ses recommandations peur gérer ses espaces naturels. La gestion différenciée n’est pas le fruit du hasard. Il s’agit de déterminer les zones jardinées, champêtres et naturelles, dont les pelouses les bordures de site, au contact de haies ou de murs, bandes refuges pour la faune, les boisements, les espaces non fréquentes où la végétation spontanée est libre de se développer. Le principe est d’appliquer à chaque situation, des méthodes douces et éco-responsables : mulshing, paillage etc.
Pour tous ces espaces, l’utilisation des produits phytosanitaires et insecticides est proscrite.
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