L’habitat : Se loger à Lillers (1)

Publié le 13 mars 2020 | Par Lillers En Commun

Lillers a un passé historique très ancien qui a structuré le centre-ville, ses rues étroites qui épousent le tracé du rempart moyenâgeux, ses rétrécissements de chaussée…

Des règlementations dont il faut s’accommoder

Des contraintes qui sont de plus en plus fortes : l’obligation de densifier l’habitat, réduction drastique de la consommation des terres agricoles, plan de Prévention du Risque Inondation sont autant de règlementations dont la ville doit s’accommoder.

Des aides, des outils et un permis de louer

Des dispositifs mis en œuvre dont Lillers profite pour lutter contre l’habitat indigne, à travers l’OPAH (Opération Programmée d’Amélioration de l’Habitat).

Le Fonds de transition énergétique créé en 2017 dans le cadre du Plan Climat Air Energie Territorial de la communauté d’agglomération peut être sollicité par les propriétaires aux revenus intermédiaires, pour des travaux de rénovation énergétique : des outils à disposition pour supprimer les « passoires thermiques ». Le permis de louer qui concerne certaines rues de Lillers s’adresse aux propriétaires et bailleurs privés qui doivent demander auprès des services de la communauté d’agglomération l’autorisation préalable de louer ou de renouveler un bail.

Ce dispositif accompagne les propriétaires de bonne foi, identifie les propriétaires sans scrupule mais aussi les locataires qui rendent des logements qu’ils ont eux-mêmes dégradés.

L’objectif avoué est de bénéficier d’une offre diversifiée de logements de qualité notamment dans le centre-ville.

Et pour les primo-accédants, une prime de 3000€ est accordée par la ville selon les revenus .

Du logement sorti de terre

Densifier l’habitat est la règle des plans d’urbanisme.

Au boulevard de Paris, la construction d’un en semble immobilier donne toute satisfaction.
La rue Guy Moquet attend ses derniers propriétaires .
La résidence Jean Ferrat s’est implantée dans le quartier Gare.